Le Sud a sa nouvelle égérie de la techno avec Nicolas Cuer, inspiré des plus grands DJs

par Manon Roussel
Le producteur Nicolas Cuer

Le producteur Nicolas Cuer s’est lancé le défi de révéler son 8ème album “Regenerate” en sortant un morceau par mois pendant un an. Les deux premiers sont d’ailleurs déjà disponibles !

Nicolas Cuer : une carrière pleine de projets

C’est à Arles, que Nicolas Cuer a vu le jour dans une famille tournée vers les arts. Dès l’adolescence, l’artiste se passionne pour le hip-hop, le rock, l’électro, et plusieurs genres qui le poussent à acquérir ses premières platines à 14 ans.

Il joue alors dans les fêtes familiales ou pour ses amis, en mélangeant les styles et en créant des remix de chansons connues. La composition prend tout d’un coup une place importante dans sa vie, et dès ses premières tracks techno il fût repéré par Carl Cox lui-même.

Nicolas Cuer au Positiv Festival © Patandpatate

Nicolas Cuer au Positiv Festival © Patandpatate

Les projets se sont alors enchaînés, comme la création de son propre label : Impulsif Records, l’initiation du festival Electropulse et de multiples dates dans des endroits tels que le Rex Club.

Près d’une vingtaine d’années plus tard, Nicolas Cuer est désormais un habitué des top 100 Beatport avec ses morceaux. Il est également à la tête du Positiv Festival et a cumulé pas moins de 1.500 dates à travers le monde.

Un huitième album au compte-goutte

La prochaine étape pour Nicolas sera de dévoiler son nouvel album, mais pas de n’importe quelle manière ! En effet, il sortira un morceau par mois pendant un an, laissant ainsi les auditeurs découvrir le projet au fur et à mesure.

Ce huitième opus intitulé “Regenerate” contiendra aussi plusieurs remix d’artistes internationaux, qui apparaîtront de temps à autres. Mais une chose est sûre, c’est que ce sera le reflet de l’amour de Nicolas Cuer pour la techno des pionniers.

Les révélations ont commencé en janvier avec “New Dawn Manifesto”, un titre à l’introduction mystique qui laisse place à une techno axée dancefloor, teintée de rave profonde et d’une mélodie stellaire.

Pour février, c’est “Chaos Quandary” qui a pris le relai. Le ton y est plus joyeux, avec des touches acid techno et des différences de rythmes qui apporte du dynamisme à l’ensemble.

Pour écouter la musique de Nicolas Cuer, c’est par ici.

 


Article sponsorisé.

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