[Paris] 5 bonnes raisons d’assister au grand retour du Weather Festival

par Hugo Audoyer

Après deux longues années d’absence, l’équipe du Weather Festival revient plus déterminée que jamais avec une édition fracassante. C’est à la Seine Musicale sur l’île seguin, à Boulogne Billancourt que le crew signera son grand retour.

1 – Un retour sur de bonnes bases

Après une campagne de teasing léchée, le couperet est tombé. C’est à travers un manifeste disponible sur la page de l’orga, que nous comprenons la démarche, et le but de ces deux années de silence. Un besoin de se recentrer, d’affiner ses choix, dans une jungle ou pléthore d’événements et de festivals cohabitent. Le message laisse présager quelque chose de bon, d’ambitieux, et de tonitruant.

2 – Un lieu monumental

Érigée en lieu et place des mythiques usines Renault, la Seine Musicale est un véritable joyau technique et architectural. Le lieu permettra de proposer une scénographie pointue, une sonorisation travaillée et une qualité d’accueil incomparable. Clin d’œil à l’édition de 2014, puisque l’équipe avait déjà investi une partie des 36 000 m² lors de cet opus. Seule différence cette année  : le festival s’étalera sur une soirée pour 14 heures de son non stop, répartis sur trois scènes.

3 – Un savoir faire inégalé

Qui ne se souvient pas des précédents opus ? Au bois de Vincennes, ou sur le tarmac de l’aéroport du Bourget ? Il est certain que l’équipe du Weather Festival s’y connait en la matière. Nina Kraviz, Riccardo Villalobos, Jeff Mills, Rodhad, Blawan, Len Faki, et bien d’autres encore, se sont succédé sur les scènes des différentes éditions.

4 – Une programmation calibrée

Brice Coudert de Concrète est à la direction artistique, et cela se ressent tant le line up est cosmopolite. La programmation se veut paritaire et ouverte sur la scène française avec aussi des têtes d’affiches internationales. Nous pourrons notamment  compter sur la présence de la talentueuse Anetha qui partagera l’affiche avec l’incontournable Daniel Avery, KiNK, ou encore les israéliens Red Axes.

5 – Des live d’anthologie

Une grande place sera accordée au live et aux projets inédits. Lanark Artefax, jeune prodige écossais viendra présenter son live A/V avec une scèno et une ambiance singulière. Suivi de près par Shlomo et Antigone pour leur projet commun : LUXOR, pour une première en France. Park hye jin viendra quant à elle représenter la house sud coréenne. Octo Octa et Eris Drew débarquent à à la Seine Musicale pour un premier b2b commun, artistes ultra-engagées pour la cause trans et queer plus généralement. Ces DJ et productrices représentent à merveille la scène house américaine.

[button color=”blue” size=”normal” alignment=”center” rel=”follow” openin=”newwindow” url=”https://www.facebook.com/events/2063946870365780/”]Event ici[/button]

 

 

Crédit cover : Geo H Photo (pour Electro News)

Articles similaires

Newsletter

Les actus à ne pas manquer tous les mois dans votre boîte mail.

LOGO_ELECTRO NEWS_BLANC

À propos

© 2023 – Electro News. Tous droits réservés