Le plus grand open air électronique des Hauts de France fait son retour pour une 8ème édition prometteuse ! Avec 24 artistes de tous horizons, le Jardin Electronique va faire de Lille un dancefloor à ciel ouvert les 10 et 11 septembre.
La musique se met au vert
Le Jardin Electronique, c’est le parfait mélange entre fête, responsabilité et bienveillance.
Depuis 2014, cet open air géant en plein cœur de Lille attire et sensibilise les fêtards au son des musiques électroniques en tout genre. Le concept est simple : durant deux après midi, de 14h à minuit, le Jardin des Plantes se transformera en club à ciel ouvert !
Le Jardin Electronique à Lille. Crédit : Samuel Nogues
Fier de faire bouger leur territoire, le Jardin Electronique est aussi reconnu pour l’investissement écologique au cours de ses événements. Divers labels viennent attester de la concrétisation de leurs projets, que ce soit dans l’utilisation de biocarburant pour alimenter les scènes ou la proposition de plats vegans.
De quoi faire apprécier un festival sans culpabiliser pour la planète !
Des pépites dans tous les genres électro
Côté musique, il y en aura pour tous les amateurs de musiques électroniques.
Deux scènes nichées en plein cœur des roseraies et arbres exotiques accueilleront 24 artistes les 10 et 11 septembre, avec parmi eux de nombreuses têtes d’affiche. Tous les styles seront effectivement représentés, en allant de la house de Marina Trench à la techno indus de Charlie Sparks.
Affiche du Jardin Electronique 2022
Des valeurs sûres dans leur domaine seront également présentes, comme le pionnier de la french touch Etienne de Crécy, le duo d’allemands Fjaak ou encore l’ovni de l’électro/techno DJ Boring.
Mais la programmation laissera aussi la place à une nouvelle génération d’artistes comme Kendal, qui remet l’italo-disco au goût du jour, Space 92 et sa revisite de la rave aux accents trance et dance ou encore Asdek, le spécialiste de la bass music.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur l’évènement Facebook et la billetterie.
Article sponsorisé. Crédit cover : Samuel Nogues