Le vendredi 27 mai, le collectif Children of The Underground fait son grand retour dans un hangar en plein cœur de Paris. De 23h à 8h30, la crème de la scène techno émergente va retourner les 1500 m² de dancefloor.
Éclectisme et bienveillance
Depuis 2017, le collectif Children of The Underground a à cœur de faire vivre et revivre les valeurs incontournables de la culture techno. La bienveillance et la fête libérée sont leurs mots d’ordre, avec une attention toute particulière donnée à la sécurité et la confiance, afin que chacun puisse passer une soirée de lâcher-prise. La notion de partage est également importante, avec de nombreuses collaborations à leur actif, à l’exemple de l’open air Reborn qui a eu lieu en plein été de la pandémie en 2020.
Pour cette nouvelle date du 27 mai, c’est en solo qu’ils investiront un warehouse parisien pour une nuit underground à souhait. A seulement 10 minutes en transport de Châtelet, ce lieu de 1500m2 promet d’être le théâtre d’une soirée chaude et agitée.
Ambiance industrielle assurée
Toujours fidèles à leur direction artistique éclectique et novatrice, Children of The Underground propose une nouvelle fois de découvrir les jeunes talents de la scène techno.
L’ambiance indus sera assurée par le néerlandais Paramod, qui allie ses influences hard et techno brute, ainsi que l’enfant terrible Kiddo qui saupoudre ces sets de teintes EBM et dark techno.
L’artiste à suivre Tassery sera également présente avec une techno rave et rapide qui a déjà conquis des clubs comme le Rex Club ou le Glazart. Un style qui résonnera aussi du côté de Sentaka, résident Children of The Underground, avec un set entre techno froide et bangers acid. Deux performances live sont également attendues, avec des artistes en constante recherche de nouvelles façons de travailler la musique électronique. Chacun à leur manière, Draugr et Vlaysin enverront depuis leurs machines un spectre techno rapide, percutant et sans concession.
Plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement et la billetterie.
Article sponsorisé. Crédit cover : Arthur Lacour