L’agence événementielle LDMT propose un nouveau concept de soirées dans la liberté la plus totale. Le prochain aperçu du projet “Technosterone” se déroulera le 18 mars prochain au RedLight : techno hypnotique et lâcher-prise sont au programme.
La liberté berlinoise dans les clubs parisiens
Less Drama More Techno élargit son catalogue avec une thématique de soirée toute nouvelle : les Technosterone. Le fondateur de l’agence, Ben Manson, s’inspire de ses épopées allemandes comme ligne directrice. Les clubs y sont un espace de liberté où les conventions sociales ont beaucoup moins de limites. Chacun s’habille (ou ne s’habille pas !) comme bon lui semble, danse comme il veut et s’acoquine avec qui le souhaite. Le non-jugement, l’acceptation et le respect de tous sont le cœur du concept.
Les technosterone sont un retour des soirées gays dans leur forme la plus primaire. Et bien que le cadre soit LGBT+, les festivités sont ouvertes à tous. Ce format mensuel a donc vu le jour en novembre dernier et s’est déroulé jusqu’ici au RedLight. Les organisateurs prévoient également des événements spéciaux pour des moments tels que Pâques ou la Pride.
Techno indus et bottes de cuir
Pour le 18 mars, le club se transformera donc en temple du cuir et de l’inclusion sans condition. Les photos et vidéos seront interdites pour laisser place à la liberté d’expression sur le dancefloor. Il est même prévu une love room pour les corps qui auront besoin d’intimité. L’ambiance sera hypnotique avec trois artistes aux styles enivrants. DMN mêlera pour l’occasion une techno à la fois deep et frénétique : les rythmes breakés apportent de l’énergie à ses sets sauvages.
A ses côtés, le résident LDMT Mr Cozzo fera voyager les fêtards avec des sonorités de Détroit, de la deep house et des influences french touch. Pour compléter le podium, Louis The 4th sera présent pour sa première scène parisienne. Son univers vient compléter les mélodies envoûtantes de ses acolytes, avec une techno mentale aux pointes jungle.
Plus d’infos sur l’événement Facebook et sur la billetterie.
Article sponsorisé. Crédit cover : Florent Siegenthaler