Producteur énigmatique mais prolifique, Marc Satseg a dévoilé un nouvel EP début février : “Hard Desire”. Il y présente quatre aspects de son univers cosmique, entre techno, électro et trance profonde.
Marc Satseg : un ovni sur la planète électro
Comme un homme exilé sur la face cachée de la lune, la vie et l’identité de Marc Satseg sont une énigme. Jamais à découvert, il s’exprime pourtant de manière minutieuse et féconde à travers la musique.
Pour communiquer au mieux avec les mélomanes terrestres, il a d’ailleurs créé son propre label, sur lequel il sort la plupart de ses productions : Spaceless Records. Un nom ironique pour l’amateur de sonorités cosmiques, “spaceless” signifiant “sans espace”.
Cette structure lui a permis de sortir pas moins de 14 EPs, chacun explorant des thématiques et des styles musicaux variés. Techno, électro, house, trance, disco, synthwave : les inspirations varient au gré des couleurs que Marc visualise.
Cet exercice d’exploration, il le manie également à travers sa série de podcast “Space Session”, ainsi que dans un nouveau projet de performances audiovisuelles en live qu’il est en train de mettre en place.
Un nouvel EP interstellaire
Côté production, Marc Satseg vient de sortir un nouvel EP intitulé “Hard Desire”. Son objectif y était de retranscrire certaines émotions qui l’ont traversé au moment de la création, avec différents degrés d’intensité.
Une fois de plus, il y a décliné plusieurs genres électroniques, proposant ainsi une plongée dans un univers spirituel marqué par l’éveil des sens.
Cela se retrouve d’ailleurs dans le clip qui accompagne le titre “Frontpage”. Des corps en négatif s’y frôlent dans une lumière bleutée, symbole de l’âme en action. Le tout accompagné d’une mélodie électro aux lignes de basse profondes et aux nappes envoûtantes.
Les trois autres tracks y ont également chacune leur patte, avec une ambiance trance percutante pour “Feel Better”, une électro techno sortie de la science fiction pour “That’s Right”, ainsi qu’un retour à l’espace avec “End”.
Pour écouter la musique de Marc Satseg, c’est par ici.
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