Semblable à un extraterrestre glissé dans le corps d’un compositeur humain, Extra Terra a dévoilé son nouvel album le 10 mai inspiré par l’IA. Il y explore les sonorités bass music, techno et synthwave qui sont devenues sa marque de fabrique, avec une dimension épique.
Extra Terra : le producteur du futur
Avant de créer un univers unique, Extra Terra a démarré ses premiers contacts avec la musique en jouant dans un groupe de metal, puis en produisant de la psytrance. Mais c’est finalement en découvrant l’esthétique sonore d’artistes comme Skrillex, Infected Mushroom et Hans Zimmer que la révélation s’est faite.
Aujourd’hui, Extra Terra est reconnu pour son style à la croisée de la bass music, du synthwave et de la techno mélodique. Passionné par le cyberpunk et les technologies, il s’exprime aussi en écrivant des livres et en tenant une chaîne Youtube sur le sujet.
Extra Terra sur scène
Ce dernier a d’ailleurs su se faire une place de choix sur la scène internationale, en composant notamment des titres pour le cinéma et des jeux vidéos tels que Rocket League. Avec près de 100 millions d’écoutes cumulés sur toutes les plateformes, il est définitivement un producteur en plein essor !
Un nouvel album inspiré par l’IA
Mais le dernier projet en date de Extra Terra est la sortie de son nouvel album : “Accelerate Or Die”. Pour celui-ci, il s’est inspiré d’un mouvement sociéto-scientifique venu de la Silicon Valley qui prône le développement à grande vitesse des intelligences artificielles.
Tous ses centres d’intérêt s’y retrouvent, que ce soit la science fiction, le cinéma, mais surtout différents genres de musiques électroniques qui se croisent afin de former un ensemble aussi dramatique que dansant.
Entre les violons épiques qui ouvrent l’opus, les rythmes profonds et électrisant de la bass music, les mélodies prises parfois à l’acid techno, parfois à l’EDM ou au synthwave, et les deux derniers titres qui sonnent comment des balades guidant vers l’espace, c’est toute une bande-son digne d’un thriller dystopique qui se dessine en 14 morceaux.
Pour écouter la musique de Extra Terra, c’est par ici !
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