Le 25 mars prochain, le collectif Newtrack investit une nouvelle fois le Nexus à Pantin pour une édition mouvementée de sa résidence “Riot”. Résolument techno et invitant au lâcher prise, la soirée promet d’être forte en adrénaline et en kilowatts.
Un appel à la catharsis dans un cadre immersif
Imaginez pouvoir danser sans limites au son de DJs survoltés dans un immense club à la scénographie immersive. C’est la promesse des soirées “Riot” du collectif parisien Newtrack, qui remet le couvert pour une seconde émeute après le succès de sa précédente édition au Nexus. Le mot d’ordre ? La fête sans concession dans un cadre propice au lâcher prise le plus total. Le 25 mars, les participants pourront de nouveau se défouler huit heures durant et profiter de la venue d’artistes français et internationaux.
Créer une émeute, oui, mais pas n’importe comment. Autant faire les choses bien ! À l’instar des précédentes “Riot”, les participants déchaînés pourront profiter d’un soundsystem de qualité fourni par L-Acoustics. Cerise sur le gâteau, le résident Jad mettra ses talents de VJ à profit en illuminant le Nexus grâce à un mapping vidéo à 360°.
De la techno aux accents punk
C’est une ligne artistique très prometteuse mêlant techno et punk qui attend les fêtards. Pour faire trembler le club, il y aura tout d’abord le duo berlinois Brutalismus 3000, étoiles montantes de la scène underground. Connus pour leur savant mélange de styles plus énergiques les uns que les autres, entre hardstyle, techno et punk, leur live ne laissera personne indifférent. Ils seront accompagnés de Jan Vercauteren, jeune producteur bruxellois. Kicks saturés et lignes acid à souhait : sa venue transformera très vite le Nexus en véritable rave des années 90.
Du côté des français, c’est le duo résident Wlderz qui fera voyager la foule à travers leurs sonorités industrielles et leurs mélodies hypnotiques. À leurs côtés sera également présent Bours?, le coup de cœur de Newtrack aux sets aussi bien ravageurs que rafraîchissants. Enfin, un vent du sud soufflera sur le club grâce à Ogmah, le créateur d’Askorn Records. Sa techno industrielle authentique et brutale promet de faire vibrer tout Paris… Préparez-vous pour la bagarre!
Plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement et sur la billetterie.
Article sponsorisé. Crédit cover : Romain Guédé