Après la soirée de 24 heures ‘Never Ending Party’ au début du mois d’octobre, le collectif Mess opte pour une nouvelle fiesta dotée cette fois-ci de deux scènes à 360°. Celles-ci verront se relayer des artistes techno de renom, dans une ambiance des plus underground!
Le respect et la liberté des corps
Le COVID tente à nouveau de mettre des bâtons dans les roues de Mess, réputé pour ses marathons de techno industrielle de 24 heures, mettant à l’honneur la communauté LGBTQI+. Pour sa soirée du 4 décembre, le collectif parisien devra en effet raccourcir la fête. Mais cette annonce est loin d’avoir démotivé le crew dont les grands crédos sont le respect et la liberté des corps.
C’est ainsi qu’à défaut de proposer 24 heures de musique, Mess prévoit deux scènes de même envergure, qui feront ainsi l’objet d’une incroyable scénographie à 360°. Toutes deux auront comme point commun la recherche de géométrie et de profondeur, le but étant bien sûr de plonger les participants dans une ambiance des plus dark. Dans cette même intention, le soundsystem sera installé de manière à diffuser de la techno depuis plusieurs points de source…
Deux salles, deux ambiances
En plus de chouchouter les yeux, Mess prend soin des oreilles affamées de techno en invitant des DJs parfois venus de loin. A commencer par la résidente du club Khidi, jumelé avec le Berghain, aka Liza Rivs, et dont on se souvient encore de la magnifique performance lors du Boiler Room à Tbilissi. Elle sera suivie de Phase Fatale, résident au Berghain, d’Acierate, fondateur des très célèbres soirées berlinoises Synoid et du résident de Mess, HKKPTR, également membre du label Lebending. Sans oublier le secret guest dont l’identité a enfin été dévoilée: Stef Mendesidis, le magicien résidant en Ukraine à 4 platines.
Dans un registre plus groovy, la deuxième salle aura l’honneur d’accueillir le grand Metaraph, qui fait désormais partie des chouchous de l’agence de l’iconique Ellen Alien, mais aussi David Löhlein, résident du Lehmann Club de Stuttgart, ou encore le jeune australien Tred, qui commence déjà à faire son nom dans la capitale allemande. La soirée s’annonce… messy.
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Crédit Yasmine Bennis / Article sponsorisé.