Une soirée techno berlinoise va s’organiser dans le 1er chapiteau insonorisé du monde à Paris

par Manon Roussel
Le cabaret sauvage © Boillon & Fajardo

Vendredi 14 avril, le collectif Kumquat va faire son retour dans un des lieux de fête les plus insolites de Paris : le Cabaret Sauvage. Celui-ci se transformera en club berlinois le temps d’une soirée, avec une programmation techno minimale et micro house. 

Un fruit sauvage au Cabaret

Implanté sur Paris depuis plus de six ans, le collectif Kumquat met en avant les musiques techno minimales et micro house lors d’événements aussi originaux que pointus.

Friches industrielles réhabilitées, hangars, clubs… que ce soit en intérieur ou en extérieur, l’association propose de découvrir les pépites de la scène européenne et locale dans une ambiance bienveillante, chaleureuse, et ouverte aux amoureux de musique électronique.

La dernière soirée Kumquat au Dock des Suds

Une soirée Kumquat au Dock des Suds

Cet esprit, ils vont le répandre à nouveau le 14 avril dans un lieu qu’ils n’avaient pas retrouvé depuis quelques années : le Cabaret Sauvage.

Ce grand chapiteau au style rétro partage les mêmes valeurs et le même sens du détail que l’équipe, avec une acoustique calibrée, un esprit de la fête généreux et une part d’insolite dans sa décoration qui rend les événements uniques.

Une connexion Berlin – Paris

Pour cette nouvelle date, Kumquat a décidé de créer un pont entre entre deux capitales toutes deux reconnues pour leurs viviers d’artistes et événements techno : Berlin et Paris. Cette dernière sera d’ailleurs représentée par deux membres de l’équipe organisatrice.

Le digger Meti proposera un set house minimale, progressive et breakbeat surprenant en B2B avec le duo Jem&Juice, qui s’inspirera de la scène romaine pour créer une ambiance techno minimale et deep tech pleine de groove.

Affiche de la soirée Kumquat x Cabaret Sauvage

Affiche de la soirée Kumquat x Cabaret Sauvage

Ensuite, direction l’Allemagne avec le multi-instrumentaliste DeWalta. Baigné dans la musique depuis son jeune âge, l’artiste basé à Berlin mêlera percussions organiques, instruments de cuivre et notes électroniques dans un set hypnotique.

Quant à Clovis, lui aussi installé dans la Ville Grise, il puisera dans ses racines américaines, japonaises et françaises pour créer un cocktail expérimental entre basses profondes et envolées synthétiques.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur l’événement facebook et la billetterie.

 

 


Article sponsorisé.

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