Pour sa nouvelle édition, le Sarcus Festival invite à la reconnexion avec la nature lors d’une véritable cérémonie de pleine lune. Du 9 au 11 septembre, humains, musique et nature ne feront plus qu’un dans l’exceptionnel parc du Château-Monastère de la Corroirie.
La déconnexion pour se reconnecter
Le Sarcus, c’est un festival et un collectif qui place la connexion au centre de ses préoccupations. La connexion entre les festivaliers, la connexion avec la musique et surtout la connexion à la terre mère qui ne font alors plus qu’un au cours des évènements qu’ils organisent depuis 2016.
Les téléphones portables y sont d’ailleurs proscrits pour pouvoir profiter au maximum du moment et du cadre exceptionnel investi par l’équipe depuis 2019 : le Château-Monastère de la Corroirie.
Cette bâtisse du XIIIème siècle près de Tours fait partie d’un projet de réhabilitation par le collectif Sarcus, qui travaille dessus depuis leur arrivée là bas en 2019. Construction d’un pont, d’un labyrinthe végétal ou d’espace d’assise, le lieu devient chaque année toujours plus propice à faire du festival un écrin reflétant les valeurs écologiques et spirituelles de l’association.
Ces dernières se retrouvent d’ailleurs sous forme d’actions sur le festival, comme l’utilisation d’aucun avion pour les artistes ou une nourriture 100% végétarienne sur le week-end.
Cinq scènes d’expérimentations en tous genre
C’est sous la dernière pleine lune de l’été, entre le 9 et le 11 septembre, que les festivaliers pourront déambuler parmi les cinq scènes posées entre roses anciennes et fortifications. Celles-ci accueilleront pour la première fois dans l’histoire du festival des artistes étrangers, laissant ainsi à Sarcus encore plus de possibilités d’explorer les nouvelles hybridations du genre électronique.
Car en effet, la programmation fait la part belle aux projets alternatifs d’aujourd’hui et d’hier comme les sélections allant du jazzy à l’électro pop de Gigsta, les accents aussi acidulés qu’italo-disco de Jamie Tiller ou le speedy live breaké et planant de Voiski.
Chaque espace aura son ambiance attitrée pour le plaisir de tous, avec cette année une nouvelle scène axée trance et tribale, une autre pour les sonorités électroniques et organiques, une troisième représentant la scène berlinoise actuelle ainsi qu’une dernière pour la downtempo.
La cinquième proposera des performances, du théâtre et de la poésie, pour en prendre aussi bien dans les yeux que dans les oreilles !
Pour plus d’informations, rendez-vous sur l’évènement Facebook et la billetterie.
Article sponsorisé. Crédit cover : Leviet