En cette fin janvier, le producteur Matrakk a lancé les hostilités de l’année avec un nouvel album : “Contre Sens 2”. Cet opus vient dans le prolongement d’un premier projet du même nom, toujours avec des teintes techno, trance et groovy.
Matrakk : le producteur qui réchauffe la techno
Parmi la génération de jeunes artistes qui s’approprient les codes de la techno des années 90, Matrakk fait partie des producteurs en pleine ascension. Mais le lyonnais est déjà passé par de multiples étapes avant d’en arriver à cette mise en lumière !
C’est au lycée qu’il a commencé à tâter les platines dans un style généraliste, jusqu’à commencer sa carrière dans les mariages et les fêtes de particuliers. En parallèle, il a découvert la techno industrielle dans les lieux emblématiques de Lyon.
Matrakk au Nexus © Ouuzy
Un passage par l’école de DJ de l’UCPA lui a permis d’obtenir des bases solides à la construction de son univers : un mélange de techno, de trance et de groove où les kicks puissants fusionnent avec des mélodies euphoriques.
Aujourd’hui, Matrakk réalise son objectif de toucher un large public à travers ses productions, ses dates partout dans le monde mais aussi grâce à son label Obsession, fondé avec R Organic.
Un nouvel album ouvert à tous
Après un premier volet sorti il y a un an, Matrakk dévoile en ce début d’année la suite du projet “Contre Sens”. En gardant sa patte, il a souhaité sortir de ses propres sentiers battus avec onze morceaux immersifs.
Le producteur y a mis beaucoup de ses émotions, de sa passion, et surtout une envie de se connecter avec les auditeurs.
Le partage se retrouve également dans trois morceaux conçus en collaboration : un avec la DJ et violoniste Blyss, un autre avec la chanteuse Morgane Rey puis un dernier avec le producteur lyonnais Lorenzo Taglieri.
Côté musique, le jeune artiste a pioché dans l’esprit rave des années 90 avec des synthés typiques et des voix old school. Mais les kicks galopants et progressifs témoignent de toute l’énergie des dancefloors actuels !
Pour écouter la musique de Matrakk, c’est par ici.
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