Mathilde No Word : la productrice belge qui mélange bass house, drum’n’bass et jazz

par Manon Roussel
La productrice Mathilde No Word © S. Mertus

Quelques mois après la sortie de son dernier projet, l’énigmatique Mathilde No Word présente son nouvel EP “eARTh”. Elle y retranscrit des sujets qui lui tiennent à coeur dans quatre morceaux bass house aux atmosphères variées. 

Mathilde No Word : un parcours atypique

Mathilde No Word est un personnage à part entière. Entre un pseudonyme qui traduit sa timidité, des visuels venus d’un autre monde et un masque de loup vénitien une fois sur scène, elle veut faire de la musique le centre des attentions.

La productrice a d’ailleurs commencé avec ce fil conducteur à la radio, grâce à son émission Electrochoc. Cette résidence a pour but de prouver que les DJs sont des vrais musiciens et que la musique électronique est un genre qui mérite une reconnaissance unique.

Un portrait IA de Mathilde No Word

Un portrait IA de Mathilde No Word

Dotée de l’oreille absolue, Mathilde entretient un rapport organique à la musique. Le style qu’elle a choisi pour faire vibrer les âmes en profondeur est celui de la bass house, qu’elle agrémente bien souvent d’inspirations variées.

Un EP, quatre univers

Son dernier EP, “eARTh”, a la particularité de s’écouter du dernier morceau au premier. Il faudra donc terminer par “Beathoven”, un hommage au fameux compositeur allemand à base de techno bass house et d’éléments symphoniques.

Mathilde a par la suite souhaité remettre un peu de couleurs et de joie sur la journée du lundi avec “It’s Monday”. C’est le titre le plus ensoleillé de l’opus, avec des mélodies jazz associées au fil conducteur bass house.

Le troisième morceau, “Pirate”, est une plongée dans un univers futuriste où différentes textures se superposent. Basse profonde, cliquetis et rythmes changeants s’y entremêlent comme sur un navire au large.

L’EP se clôture ensuite sur “Boys On My Moon”, le titre préféré de Mathilde puisqu’elle s’est inspirée de son entourage et de son astre fétiche : la lune. En résulte donc une balade entre drum’n’bass et bass house à 133 BPM.

Pour écouter la musique de Mathilde No Word, c’est par ici.

 


Article sponsorisé. 

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