La scène française a désormais sa “Catwoman de la techno” à 150 BPM, avec Urumi

par Manon Roussel
Urumi et ses oreilles de chat © Roxane Peyronnenc

Considérée comme l’une des nouvelles révélations française de la techno, Urumi ne cesse d’évoluer à une vitesse aussi rapide que sa musique. La prochaine étape de son parcours est la sortie de son single “J’ai Pas Envie”. 

Urumi : la “Catwoman” de la techno

Connectée à la musique depuis plusieurs années, le parcours d’Urumi a commencé dans les clubs en tant que spectatrice et en organisant des événements. Elle a d’ailleurs fondé le collectif 100% constitué de femmes noires, Girls Do It Better, avec sa sœur Kendra.

Les sonorités hip hop y prédominaient, mais Urumi se sentait appelée par les musiques électroniques. C’est ainsi que son alias techno est né en 2018 !

L'énergie d'Urumi sur scène © Axel Pics

L’énergie de Urumi sur scène © Axel Pics

Avec son pseudonyme tiré d’un personnage de manga, son casque avec des oreilles de chat devenu son emblème, ses looks aux allures de cosplay et son énergie explosive sur le dancefloor, elle a rapidement conquis des scènes comme les Transmusicales, We Love Green ou les Eurockéennes.

Musicalement, elle ne s’impose pas de limite entre la house, la techno, le rap ou le hardstyle, pourvu que la connexion avec le public soit présente. Malgré tout, son terrain de jeu préféré reste de dépasser les 150 BPM avec des kicks gras et des voix tantôt sulfureuses tantôt rap.

Une actualité brulante

Cet univers créatif, la jeune artiste le développe également à travers ses productions. Lorsqu’elle est en studio, elle ne se met pas non plus de barrière en matière de style ou de vitesse.

Après avoir sorti son EP “RAP2RAVE” avec des remix frapcore il y a un an, elle présente son nouveau single plus personnel et introspectif intitulé “J’ai Pas Envie”. Celui-ci marque d’ailleurs ses débuts au sein du label All Night Long, qui abrite entre autres Acid Arab et Trym.

Le titre présente une atmosphère sombre entre ghetto tech, trap et nu gabber, où Urumi déforme sa voix mélancolique sur des rythmes club et des coups de sifflet qui appellent à la danse.

Ce morceau, elle le jouera au cours de son “Pussycore Tour” tout au long de l’année. Après avoir mixé pour DJ Snake au club Phantom, elle passera par des festivals comme Les Ardentes, l’Electro Beach ou Madame Loyal.

Pour écouter la musique d’Urumi, c’est par ici.

 


Article sponsorisé.

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