Membre indissociable du collectif Prostcrastination, le producteur niçois Guizzblanc vient de sortir un EP hard techno sauvage. “Disorder On Earth” dévoile ainsi l’âme aussi sombre que mélodique du jeune artiste.
Guizzblanc : la hard techno version niçoise
Lorsque l’on parle de hard techno dans le sud de la France, il y a un nom qui vient rapidement en tête : celui de Prostcrastination. À la fois organisatrice de soirées, label et agence de booking, la structure est avant tout un collectif de joyeux lurons aimant faire la fête avec un grand F.
Parmi eux se trouve Guizzblanc, un artiste qui a démarré son projet au sein même de l’équipe. Il a commencé par le mix avec une ambiance acid rave typique de Prostcrastination et a pu jouer dans des lieux comme le Dieze Warehouse, le Mas Underground ou l’Insane Festival.
Puis, les platines ne lui suffisant plus pour exprimer son amour pour les gros kicks, il est passé à l’exercice de la production. Psytrance, acid techno, rave : il combine plusieurs inspirations dans le but de partager des émotions aussi ténébreuses qu’euphoriques à ses auditeurs.
Un EP qui sonne comme un exutoire
Pour donner un aperçu de son univers, Guizzblanc a sorti un nouvel EP il y a quelques semaines : “Disorder On Earth”. Ce titre évocateur reflète l’ambiance destructrice des quatre titres lancés à plus de 160 BPM.
Il s’ouvre sur “Cries Of Lost Souls”, un voyage qui commence par une atmosphère sombre avant de laisser place à une voix féminine qui vient rompre la brutalité des touches hardcore et acid techno du morceau.
C’est d’ailleurs “Chaos Acidik” qui prend le relais avec, comme son nom l’indique, une ligne d’acid techno à pleine vitesse sur des kicks bien ronds.
“Overvoltage” vient quant à lui donner un ton old school entre rave, hardcore et acid techno groovy. Le tout se termine par une collaboration avec Zep, “Fxck Dat”, entre nappes trance, hard techno et toujours de l’acid techno.
Pour écouter la musique de Guizzblanc, c’est par ici.
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