Vendredi 3 mars, le collectif Lab’elles reviendra au Cabaret Aléatoire pour la 2ème fois. Cette nuit 100% féminine va explorer toutes les palettes de la techno, allant des mélodies psychédéliques à acid en passant par les atmosphères sombres.
Les femmes s’emparent du Cabaret Aléatoire
Depuis 2003, le Cabaret Aléatoire est le théâtre de toutes les expérimentations des musiques actuelles à Marseille. Des stars internationales aux talents en pleine émergence, bon nombre de DJs y ont déjà mixé.
Il n’est donc pas étonnant d’y voir des projets tels que Lab’elles soutenus. Ce collectif fondé il y a presque huit ans a pour but de promouvoir les artistes féminines dans les domaines de la musique électronique et des arts numériques. Ce projet fort est le reflet de l’engagement de sa fondatrice : l’hyperactive Delphine Lafrange.
Lab’elles au Cabaret Aleatoire © Isis Mecheraf
Performers, VJs, musiciennes… plusieurs formes de créativité se côtoient dans l’association grâce à une grande majorité de femmes, bien qu’il leur arrive d’inviter des artistes masculins pour défendre des valeurs telles que l’inclusion et le partage.
Déjà venues au Cabaret Aléatoire il y a quelques temps, toute l’équipe de Lab’Elles y retrouvera sa place le 3 mars, pour un format “club cabaret” 100% féminin !
De la techno dans tous les sens
En invitée d’honneur de cette soirée, Fernanda Martins chassera les dernières froideurs de l’hiver grâce à son énergie venue tout droit du Brésil. Cette technicienne des textures est considérée comme l’un des noms les plus importants de la scène hard techno mondiale et comptera bien s’aligner à sa réputation avec une sélection pointue.
La fondatrice de Lab’Elles, Delphine Lafrange, sera également derrière les platines. Dans la musique depuis toujours, cette activiste redoutable explorera le groove de la tech-house avec des accents techno et acid.
Affiche de la soirée Lab’Elles au Cabaret Aleatoire
Deux autres figures locales seront à ses côtés, à commencer par Tawa Girl. Son set sera un moment de transe énergétique menée par une dark techno psychédélique. Quant à l’ancienne résidente de la Villa Rouge et du Main Room SDYK, elle montrera son talent pour l’industrial techno et l’acid techno qu’elle a développé lors de ses résidences dans les clubs du sud.
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