Depuis une quinzaine d’années, le producteur Alaskam développe un univers entre ambiant techno et electronica. Aujourd’hui le 7 mars, il dévoile son nouvel album “Fusion”, qui reprend les différents styles qui l’ont influencé tout au long de ses 15 ans d’expérience.
Alaskam : un univers entre club et détente
C’est à 17 ans, influencé par des artistes comme Aphex Twin ou Ez3kiel, qu’Alaskam s’est pris de passion pour la MAO. Il s’est rapidement construit un univers entre ambiant techno et electronica, où la douceur de nappes planantes rencontre des énergies davantage “clubbing”.
Cette élasticité musicale se matérialise au travers de son animal totem, le chat, qui est parfois représenté lors de ses performances en live. Il a d’ailleurs pu se faire remarquer en se produisant dans des événements phares du Grand Ouest, comme le Tilliacum Festival ou le Stereolux.
Alaskam en live sur une plage © F. Sherkann
Armé de ses machines et de ses boîtes à rythmes, le musicien installé à Nantes et d’origine vendéenne offre aussi bien des moments de relaxation que de danses animées. Cette adaptabilité, il la met également au service de projets collaboratifs comme avec le duo Naw/ir ou la compagnie de cirque Baraka.
Un dixième album nommé “Fusion”
Après quinze années de carrière, Alaskam dévoile aujourd’hui son dixième album : “Fusion”. Plusieurs morceaux en ont été révélés ces derniers mois, et les 40.000 écoutes qu’ils cumulent témoignent déjà de l’engouement pour l’opus.
“Fusion” compte au total dix titres, chacun reprenant l’ambiance éthérée et les sonorités électroniques de l’artiste tout en y ajoutant différentes influences qui ont marqué le producteur dans ses explorations. Acid techno, synthwave et breakbeat s’invitent alors par touches, donnant de l’individualité à chacune des tracks.
La majorité des sons proviennent directement de ses synthés et de ses machines de prédilection, grâce auxquelles il espère faire voyager les auditeurs dans des aventures lointaines et aux dynamiques variées.
Pour écouter la musique d’Alaskam, c’est par ici.
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