Nice a son nouveau représentant de la hard techno à 160 BPM avec ZEP

par Manon Roussel
Le producteur Zep

D’origine tunisienne, ZEP est un membre assidu du collectif niçois Prostcrastination. À l’aise aussi bien derrière les platines qu’en studio, le jeune artiste a dévoilé fin décembre un EP mêlant une hard techno explosive et des inspirations mélodiques orientales. 

Prostcrastination : le vivier niçois de la hard techno

ZEP, c’est un amoureux de la musique, qu’il considère comme un moyen d’expression sans limite. Ses langages de communication favoris sont la hard techno et l’acid rave, notamment utilisés sur les dancefloors et dans ses productions.

Celles-ci reflètent une large palette d’émotions allant de la colère à la nostalgie, toujours en gardant un rythme entre 155 et 170 BPM pour un lâcher prise intense. Cet univers a d’ailleurs réussi à convaincre des artistes tels que Shlømo, Charlie Sparks et Lee Ann Roberts !

Zep à une soirée Prostcrastination

ZEP à une soirée Prostcrastination

Toute cette aventure musicale, ZEP ne la vit pas seul ! En effet, il est membre d’une équipe aussi sauvage que lui : Prostcrastination. Ce collectif de la Côte d’Azur s’est fait connaître grâce à des événements hauts en couleur.

Que ce soit dans des spots insolites ou dans les clubs de Nice, ils ont pour ambition de réconcilier les atmosphères euphoriques pleines de paillettes avec les rythmes infernaux de la hard techno.

Un EP aussi sportif que spirituel

Depuis quelques temps, Prostcrastination a choisi d’exporter son sens de la fête en créant son propre label, Prostpagande Records, destiné à publier les productions de ses membres.

C’est donc avec son équipe que ZEP a sorti son dernier EP : Sandstorm. Celui-ci combine une multitude d’influences issues du spectre le plus tapageur des musiques électroniques, mais également venues des origines tunisiennes du producteur.

ZEP a souhaité créé une expérience immersive pour l’auditeur, comme une traversée spirituelle du désert. En ont donc résulté trois tracks qui ramènent la chaleur du soleil dans les clubs !

Le premier morceau, Horus, donne de suite le ton avec des pointes hardcore, quelques lignes d’acid techno et surtout une voix orientale envoûtante. Mirage puise plutôt dans la hard psy et offre des airs d’aventure, tandis que Third Eye entraîne dans une rave saupoudrée de mantras traditionnels.

Pour écouter l’EP Sandstorm, c’est par ici.

 


Article sponsorisé.

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