Du jeudi 1er mai au samedi 10 mai se tiendra la 22ème édition de l’Electron Festival, à Genève en Suisse. Se plaçant comme une véritable fresque historique, l’édition 2025 sera consacrée aux machines qui ont fait l’identité des musiques électroniques : les synthétiseurs.
10j en immersion dans l’histoire de l’électro
L’Electron Festival n’est pas un événement novice puisqu’il sera de retour pour sa 22ème édition cette année. Il jouit d’une place particulière, parmi les précurseurs des événements célébrant les cultures électroniques.
Disposant de 10 jours de festivités, l’Electron proposera un format axé sur la découverte de nouvelles formes de création mais aussi sur les piliers déjà présents depuis l’aube de la production électro.

L’une des scènes de l’Electron Festival en 2024
Le fil rouge de cette édition s’articulera autour de la force fédératrice que créent les musiques électroniques, entre individus venus de divers horizons et aux influences variées. L’Electron renforcera également sa dimension institutionnelle, grâce notamment à une collaboration très attendue avec le Swiss Museum and Centre for Electronic Music de Fribourg. Cette alliance prendra la forme d’une playroom consacrée aux synthétiseurs.
Le festival s’emparera au total de 7 lieux culturels de la ville de Genève et proposera à nouveau une partie de son programme en plein air. Une série de 4 workshops sur la production sera également organisée.
Une programmation pointue à Genève
Côté line-up, l’Electron frappera une fois de plus très fort, avec des noms aux fondements de mouvements électro actuels mais aussi des artistes émergents et locaux à suivre de près.
Ainsi, le pionnier de la scène modulaire suisse Boodaman proposera un live synthèse dans l’espace culturel l’Abri. À l’Alhambra, le génie Max Cooper, véritable scientifique du son, mêlera dans sa performance techno et arts visuels.

L’affiche de l’Electron Festival 2025
Du côté de l’École des Musiques Actuelles, le producteur bulgare KiNK se produira avec un live groove dans l”Auditorium Ansermet. Il partagera l’affiche avec le français Voltaire et sa “techno astrale”, un talent montant déjà adoubé par Laurent Garnier.
Dans la seconde salle plus intimiste de l’eMa, Le Chaudron, c’est la lausannoise Anna Z, habituée des clubs berlinois, qui offrira un set entre techno, IDM et bass music.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement et sur la billetterie.
Article sponsorisé.