Le producteur Chineur dévoile son premier EP d’électro oriental, à la croisée entre techno et rap

par Manon Roussel
Le producteur Chineur © Béranger Tillard

Après des années passées à faire jouer les autres, Chineur a décidé de lui-même se lancer du côté de la production. Son premier EP “Assamplage” est disponible depuis le 5 avril, présentant un univers entre techno, rap et world music. 

Chineur : un voyage depuis chez soi

Depuis des années, Bastien Perez s’implique dans divers projets culturels et dans la direction artistique de plusieurs événements et festivals.

Prônant l’éclectisme et le mélange des genres dans cet exercice, il s’est construit une solide base de pépites musicales en tout genre et a développé une maîtrise du digging sans faille. Tout naturellement, il a décidé de passer lui-même du côté des artistes !

Le nom de son projet reflète ses compétences, en toute simplicité : Chineur. Sous cet alias, il s’épanouit dans l’art du sampling qui consiste à prendre un extrait sonore et le transformer en quelque chose de nouveau.

Déjà signé sur le label X-Ray Production, le nouveau compositeur landais a sorti un premier EP qui rassemble à la fois plusieurs genres musicaux, sa passion pour le dénichage et une énergie taillée pour tous les dancefloors.

Un premier EP entre tradition et modernité

Avec un nom tout aussi évocateur, “Assamplage”, cette première entrée en matière dans l’univers de Chineur annonce une revisite des musiques du monde version électro. Le voyage commence par le Maghreb avec huit titres tous plus ensoleillés les uns que les autres.

L’opus s’ouvre sur le titre éponyme “Assamplage”, comme un aperçu des sonorités orientales, techno et rap qui vont traverser l’EP. Après quoi direction “Rachida”, qui dévoile des notes plus trancy avec une flûte entraînante et des voix saccadées.

Quant à “Tarab”, il réconcilie les amateurs de rythmes psytrance, les aficionados d’énergies disco et les auditeurs de rap arabe dans un mélange surprenant.

Le flow rap s’invite aussi sur d’autres titres comme “Jamal” où les chants viennent laisser place à un crescendo acid techno, ou sur la house introspective, jazzy et tropicale de “Awé” qui clôture l’EP.

Pour écouter la musique de Chineur, c’est par ici.

 


Article sponsorisé.

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