Bien décidé à faire rayonner la scène montréalaise à l’international, le label Phosphate Records a sorti son premier various artist le 1er novembre : “Genesia”. Talents locaux et producteurs d’ailleurs se rejoignent sur cet opus où le hard groove sert de fil conducteur.
Phosphate Records : la techno version québécoise
Le phosphate est une roche qui contient des éléments essentiels pour nourrir la terre et les plantes. Un véritable élixir de vie qui a inspiré le nom de Phosphate Records. Ce dernier a en effet l’objectif d’apporter à la scène techno un nouveau souffle, entre sonorités efficaces et rythmiques contemporaines.
Phosphate Records a également à cœur de servir de terreau fertile pour les jeunes artistes de Montréal, ville où est né le label il y a un an. Les deux fondateurs s’appuient notamment sur des ponts musicaux entre les talents locaux et des producteurs du monde entier.
Cela se matérialise dans des projets comme “Genesia”, leur tout premier various artist. Cet album est le reflet de l’univers organique, chimique et énergique de la structure. Un véritable cocktail de textures et d’écosystèmes mélodiques qui rappellent les mouvements de l’énergie vitale de la planète !
Un premier projet d’envergure
“Genesia” tient évidemment son nom de la genèse, comme le marqueur d’un nouveau départ pour le label. Celui ci est d’ailleurs souligné dans la pochette de l’album, qui représente une île verdoyante flottant dans le ciel.
Vingt-six titres y forment un paysage sonore qui élargit les horizons, à la fois géographiques et musicaux. En effet ce sont une dizaine de nationalités qui sont représentées, entre la France, l’Allemagne, l’Argentine, l’Écosse ou bien sûr le Canada.
Les inspirations sonores y sont tout aussi variées, entre techno mentale, trance, house et rave, mais en gardant toujours un rythme hard groove et une atmosphère éthérée.
Cette effusion d’harmonies permet à la fois de retrouver des producteurs confirmés tels que Aezstetic, San Regret, Capon, Baddhu ou y0ta, mais aussi de jeter un œil à la scène montréalaise portée par Milkē, No Police ou encore Wolko.
Pour suivre Phosphate Records, c’est par ici !
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