Après plus de dix ans de production musicale, l’artiste parisien Farwell a sorti son premier album le 10 mai dernier. Intitulé “Midnight Reveries : Melodies Of The Soul”, l’opus plonge l’auditeur dans une bande son deep house réservée aux heures ténébreuses de la nuit.
Farwell : le producteur inspiré des plus grands
La connexion entre Farwell et la musique électronique, elle s’est faite à la sortie de l’album “Alive” des Daft Punk en 2007. Il a alors décidé de se former au DJing et a commencé sa carrière en échauffant les débuts de soirées.
Petit à petit, il découvre Armin Van Buuren avec les podcasts ASOT ou le mythique opus “Berlin Calling” de Paul Kalkbrenner; ces artistes vont lui donner envie de se lancer lui-même dans la production à l’âge de 19 ans.
Farwell en studio
Il sortira un premier EP quelques années plus tard : “Basic Like Sawer”. Il y exprima un univers progressive deep house, avant de proposer un projet aux sonorités orientales “Al Oud” en collaboration avec Le Gabe. Il explorera finalement la disco synthwave et la nu house en 2023.
Après une dizaine d’années à créer, écouter et s’enrichir de musique électronique, Farwell a concrétisé sa carrière en réalisant son premier album “Midnight Reveries : Melodies Of The Soul”, disponible sur toutes les plateformes depuis le 10 mai.
Un premier album introspectif
Avec ce projet, le producteur a voulu mettre en musique l’énergie dégagée lorsque la nuit tombe, que le monde s’endort et que la créativité se développe. Que ce soit en étant éveillé et détendu ou en plein dialogue avec son subconscient lors des rêves, Farwell est un être nocturne.
Au total, huit titres invitent à une balade deep house intense tout au long de l’écoute, allant des coups de boost jazzy de “Morning Coffee”, à l’ambiance stellaire de “Analogy / Failing Fear” en passant par les nappes planantes et les voix de “Knockin’ On”.
Un clip vient d’ailleurs compléter l’ensemble, celui du titre “Echoes Of The Night”. L’atmosphère y est profonde, presque mélancolique avec une succession de plans entre virées en ville, appels manqués, insomnies et trajets introspectifs.
Pour écouter la musique de Farwell, c’est par ici !
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