En octobre dernier, la rentrée commençait à se faire ressentir, et les vacances commençaient à manquer. Le Fort Festival a su raviver en tous les nostalgiques de vacances des souvenirs mémorables dans un contexte unique.
Plus qu’un festival, un voyage
Outre le spot complètement magnifique et les prestations artistes déboussolantes, le Fort se situe à Tossa de Mar, dans une ancienne cité médiévale. Se balader dans les rues avant d’aller au festival a quelque chose d’historique, nous rappelant les sorties scolaires de notre enfance.
Tout au long du festival, on peut entendre les basses résonner dans toute la ville de Tossa, cette dernière étant agencée en amphithéâtre face à la mer, et de surcroit face au Fort Festival. Sans parler des habitants, tous aussi accueillants et chaleureux.
Un festival bordé de mer
Toujours dans l’éloge du lieu, on retiendra que tant sur la main stage que sur la deuxième scène, un horizon de mer se distingue. Un tel paysage fabrique quelque chose de magique autour des 2 000 âmes dansant au rythme des DJ set ou des live.
Deux scènes intimistes
Loin d’attendre des milliers de personnes, le festival préserve son charme de par sa jauge réduite. On y rencontre espagnols (surtout de Barcelone) mais aussi hollandais, allemands et bien sûr les voisins français.
On aura pu y voir la techno puissante de Jeff Mills en live, Maceo Plex ou encore Anna. Sans oublier la house live de Giorgia Angiuli, Satori ou Mano le Tough.
Petit point négatif : le festival ne dispose pas de coin chill pour se poser ou chiller entre potes. La configuration du lieu, assez étroite, ne vous laisse pas le choix : soit vous marchez, soit vous dansez.
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Pour conclure, le Fort Festival c’était dépaysant, puissant et surtout enrichissant!
L’impatience monte déjà pour l’édition 2019.