Pour sa seconde édition, le Bricks Festival frappe fort et lance sa communication pour les 12 & 13 juin 2021 au Parc de la Mounède. Après une première édition réussie avec brio, cette seconde est synonyme d’espoir après le manque d’événements liées à la Covid-19
Des monolithes pour amorcer la comm’
La communication digitale lancée, l’équipe du Bricks n’a pas chaumé pendant ce confinement. En surfant sur la tendance de monolithes, c’est à leur tour qu’ils en ont déposé un sur les hauteurs de Pech-David. Une action qui a suscité de nombreuses interrogations de la part des toulousains. Le mystère a été vite résolu, mais l’effet en reste immédiat !
Au cœur de la scène toulousaine, le Bricks avait déjà fortement fait parler de lui l’an dernier en faisant venir de belles têtes d’affiches telles que Fjaak, Nicole Moudaber, ou même Dubfire; tandis qu’une deuxième scène mettait en valeur les talents locaux.
Malgré l’annulation de l’édition 2020, 2021 s’annonce déjà sous les meilleurs hospices pour l’équipe.
Des premiers noms, et de l’ambition
Comme l’an dernier, deux scènes seront présentes : une locale et une remplie de grand noms.
Le Bricks nous annonce Dixon, compositeur et cofondateur du label Innervisions avec Âme (présent lors de la première édition), qui nous proposera un set oscillant entre deep house et tech house. On retrouvera également Jennifer Cardini, française basée à Berlin aux influences plutôt électro minimaliste. Enfin, parmi les têtes d’affiches, l’américaine Honey Dijon balayera un large spectre musical entre house disco et deep house.
Pour ce qui est de la scène locale, nous retrouverons les influences minimales de Groenogen, cofondateur de l’association Biphase, ainsi que celles de Benken et Soum, respectivement président et cofondateur de 50CL. Deux associations toulousaines prometteuses et actives durant le confinement.
[button link=”https://www.facebook.com/events/369645344336077″ color=”black” newwindow=”yes”] Event facebook[/button]