[Report] Artistes déchaînés, choix difficiles et sacrifices des orgas : l’Insane a tout donné pour sa 3e édition

par Coline Avargues

Notre équipe a intégré les coulisses de l’Insane Festival, et avec du recul, on vous fait revivre l’édition en détails.

Vers 16h, une partie de l’équipe débarque devant l’entrée. Une grosse file d’attente se dresse face à nous. Plus d’une heure avant de pouvoir rentrer, entre orages et grêle qu’on évite de peu, on se dit qu’à peu de choses près on aurait pu faire 1h30 de queue sous la pluie. On demeure quand même contents de voir que l’heure d’attente n’est pas un simple problème de personnel. En effet, ce qui nous attend est une double fouille avant de pouvoir rentrer. Ce n’est donc pas de la mauvaise organisation mais une question de sécurité du festival, ce qu’on appelle un mal pour un bien.
Nous voilà donc dans le Parc des Expositions de Toulouse. Il est désormais temps d’aller explorer le complexe et les différentes scènes ainsi que le coin extérieur. Aux premiers abords,le spot est moins grand et étendu que le Parc des Expositions d’Avignon.
Nous décidons de nous disperser afin de couvrir le maximum de scènes et d’artistes. Pendant que certains sont déjà à 10 grammes et nous prennent pour des « Points infos mobiles », on a une bière dans une main et la timetable complète dans l’autre. Nos programmes sont tracés et comme on dit : « Y’a plus qu’à !! »
> Afin de rendre ce report plus simple à lire, on a opté sur la description de chaque scène plutôt que le déroulement de notre soirée. <

LIVE STAGE

A peine arrivés, on file sur la scène LIVE. A notre grande surprise, Dario Rossi joue encore à cette heure-ci et ce jusqu’à 19h15 environ. Nous qui pensions rater l’empereur du sale, on se retrouve face à une musique hyper rythmique hand made qui nous remue d’emblée ! En fait le mec arrive avec toute sorte d’instruments de percussion qu’il a choisi (dont des casseroles, oui oui !). Les gens sont encore un peu timide, c’est le début du festival, mais c’est une bonne petite mise en jambe!
Changement d’ambiance et de décor, arrive ensuite Lorenzo, on se place comme on peut vers le fond puisqu’une foule dense et connaisseuse peuple l’avant de la scène (on se sent un peu mal à l’aise de ne rien reconnaître mamen). On était un peu septique mais plusieurs personnes nous ont dit “Lorenzo en live, c’est à voir” ! En fait Lorenzo, c’est un peu un mélange entre provoc’, mots rentre dedans, avec son bob et son « mamen » qui boucle chacune de ses fins de phrases. Le clou du spectacle : la scène, c’est en fait un stand de Kebab de fête foraine, la petite touche wtf qui colle bien à cet énergumène ! C’est un pur showman avec sa bande sur scène, on salue l’orga pour la découverte, mais on décide de rejoindre les scènes davantage électroniques qui sont plus notre dada avant de revenir voir Comah qui clôture la scène.
Évidemment quand on passe de Vini Vici (scène World Trance) à Comah, on a un peu l’impression de marcher à reculons puisque les bpm sont divisés par 2, à perception d’oreilles. Mais c’est ça qui est bien dans un festival multi genres !

Beaucoup de monde se rue dans la salle pour le voir, et les junglists qui attendent impatiemment l’ouverture de la Jungle Juice aussi. Et comme le retard n’est pas mis à jour sur l’appli, c’est le choc des civilisations !
Quelques personnes ont eu du mal à trouver la LIVE STAGE ainsi que la JUNGLE JUICE STAGE (quand on disait qu’on nous prenait pour des « Points info », on a eu quelques demandes concernant sa situation) mais l’essentiel n’est pas là. L’essentiel est qu’une bonne partie des gens qu’on y a vu y avaient l’air plutôt bien puisqu’on les y a vu du début à la fin ! Une fois le set de Comah terminé, il suffisait de se retourner pour que de nouvelles têtes arrivent et n’attendent qu’une seule chose : la transition de la LIVE STAGE à la JUNGLE JUICE STAGE !
Patience, changement de déco, transition sans musique pour ajuster la scène, et hop, c’est parti pour une soirée drum hors-normes avec à peu de choses près que des HEADLINERS !

JUNGLE JUICE STAGE

Oui, il y avait un peu de retard sur cette transition, on a eu droit à pas mal de « Elle est où la Drum ? » ou de « Il commence quand SKS ? »Patience, ça arrive !! C’est alors que la silhouette toulousaine de SKS se profile sur scène, les clés USB se branchent et le premier contact entre le doigt de SKS et le bouton play de la platine a lieu.

On a eu la chance de pouvoir accéder à la scène directement, il en va de soi qu’on peut vous servir des petites anecdotes au plus proche des artistes.

Il est 22h40 et voilà qu’on est partis pour écouter de la Bass Music et plus principalement de la Drum jusqu’au closing de la scène. On entend alors raisonner un peu de douce vibe puis l’artiste enchaîne rapidement sur un Benny L – Bullfighter (Serum remix). C’est à ce moment-là qu’on se demande qui de la bass de Serum ou des tôles du Hall gueulent le plus !
Les musiques s’enchaînent, les repères sont vite pris par les junglists et la vibe du 174bpm est instaurée dans ce hall. Afin de rattraper le retard, son set est un peu écourté.
Pendant la dernière musique, on a eu le temps de discuter rapidement avec un mec aux cheveux longs. Il serait appelé « Pythius » dans le milieu.
Il a l’air fatigué, on lui demande si ça va, s’il est chaud et il nous répond d’un geste de la main « coussi coussa » accompagné d’un « I’m a bit sick ». On espère que ça ne va pas l’empêcher de rassasier cette foule mangeuse de basses. Il s’installe, branche ses clés et lance le premier track. Apparemment le fait qu’il soit malade ne change rien, ça va envoyer !
C’est donc 1 heure de Pythius qui se déroule, les tracks plus poussives les unes que les autres, on se demande si on peut encore augmenter le niveau de violence parce qu’il n’est pas encore minuit et qu’il va y avoir de la Drum jusqu’à 5h..
De là, un mec se prénommant Alex arrive sur le bord de la scène. Son visage est familier, il a un tee-shirt avec un gros « AB » en blanc dessus. Pas de doute, c’est Agressor Bunx qui arrive. Qui ne connait pas Agressor Bunx ? Ces deux frères qui, à chaque fois qu’ils sortent un nouveau morceau,  nous mettent une grosse claque dans la face !!
Première track, ça tabasse. Ah oui, on a oublié de te dire qu’Agressor Bunx fait partie du petit nombre d’artistes qui, comme Pythius, ont des tracks avec des intros à rallonge. Certains de leurs morceaux mettent plus d’une minute à dropper. Comment dire, c’est parfait pour commencer un set. Un ambiance pesante et sombre jusqu’au drop où une foule se libère.
On remarque très vite ceux qui suivent Agressor Bunx puisque ce sont les seuls qui connaissent les tracks du prochain album du duo. On aperçoit même des tee-shirts AB au premier rang.


Pour faire simple, le set d’Agressor Bunx (représenté par le frère le plus âgé des deux) se compose principalement des deux choses suivantes : leurs tracks les plus connues + les tracks de leur prochain album (Qui sort chez Eatbrain).
Comme on est sur scène, on voit un orga qui arrive accompagné d’un mec à capuche. De loin, il paye pas de mine, le type lambda. Il relève la tête vient nous saluer, d’un air un peu timide mais avec un gros smile. Mefjus.
Le chirurgien des platines est dans la place.  Il pose ses affaires, se met dos au public, en bout de scène et se concentre quelques instants.
Le rituel de la transition s’opère, « je te laisse sur quelle musique ? », « Tu veux que je coupe ? » « J’en met une dernière et c’est à toi »…
Bon, Mefjus est prêt et c’est parti pour 1 heure de folie.

Là, c’est du banger sur banger, ça roule, c’est poussif ! Certains morceaux sont de gros tunes, à tel point que le public pourrait les chanter à tue-tête. Autant sur d’autres morceaux, même les orgas se regardent entre eux d’un air de “Mais ça sort d’où ce son ? Qui est-ce que ça pourrait bien être ?” Oui, vous l’avez compris, il y a des dubs. Mefjus jouait la veille à Lyon et des amis nous avaient prévenus que des ovnis risquaient de se glisser dans son set et oui, on en a eu ! Cette transition du “Suicide Bassline” qui prend un gros rewind, qui repart et au moment du drop, gros switch vers une track sortie de nulle part.

Derrière lui se préparent deux silhouettes que l’on connaît mieux sous le nom de Dirtyphonics. Ces gars sont des grands habitués des scènes et ils savent parfaitement comment allumer une scène ! Il nous faut pas moins de 10 minutes pour nous en rendre compte. Un bon set de Dirtyphonics à l’ancienne, balayant tout le spectre de la Bass Music. Plutôt pas mal sur le papier non ? Rajoutez le fait qu’ils ont passé leur set à jongler entre nouveaux morceaux et grand classiques. Mélangez le tout et ajoutez des zestes de showman et voilà la recette la plus efficace pour faire vibrer la foule. Ils se permettent même de mettre en dernier morceau “La jeunesse emmerde le Front National”. 

Ça fait déjà quelques heures que ça tape fort et bien dans ce hall.

L’avant-dernier artiste n’est autre que l’italien tatoué : Maztek. Hyper concentré, c’est ce qu’on appelle un “rouleau-compresseur” qui se met en marche. Un débit de morceaux bien gras et épais.. De l’insolence, voire du non respect.. Juste avant qu’il ne joue, on lui signale que son morceau avec State of Mind “Back From The Edge” est vraiment quelque chose. Le voilà qui résonne, le drop éclate la foule! Maztek lance sa main pour aller chercher le jogwheel et claquer un bon gros rewind. Il se retourne, grand sourire, un hochement de tête pour le remercier, et le morceau drop à nouveau avec toujours autant d’efficacité.

On sait pourquoi ce mec fait toujours partie des plus grosses scènes, il l’a encore démontré ce soir. A des moments il était possible de se dire que la transition était longue et qu’il galérait. C’est ce qu’on appelle “parler trop vite”. La transition sortait généralement de nulle part pour nous mettre une bonne claque.

Dernier artiste, un des deux membres du duo Neonlight. Ce soir là, c’est Jakob qui est présent. Avant de monter sur scène, un petit hochement de tête pour nous saluer, mais ça reste très timide.

Son intro était plus que prévisible. Après l’engouement qu’il y a eu autour du Noisia – Into Dust (Neonlight remix) récemment sorti, il y avait de très fortes chances que ce soit ce morceau qui apparaisse. C’est le cas. Jakob a une gestuelle de mix et une communication avec le public qui sont très bonnes. L’association nous fait pénétrer dans une sacrée ambiance. Ce n’est pas la première fois qu’on le voit faire un closing et à vrai dire, ça lui va plutôt bien. Ce partage avec le public combiné à une bonne technique de mix, une selecta bien propre et quelques dubs nous donne le mec parfait de closing. 

Les organisateurs de la scène reviennent derrière Jakob qui fini son set. Un dernier morceau, les lumières qui s’allument et voilà qu’il est temps de remercier le public, les artistes et les organisateurs pour nous avoir fait profiter de cette soirée. Du bon son, des artistes efficaces et toujours aussi sympas, l’équipe Jungle Juice qui est juste adorable et toujours avec le sourire et un public déchaîné. Que demander de plus ?

Si on devait résumer la scène Jungle Juice en une phrase “Personne n’était là par hasard”.

WORLD TRANCE STAGE

Dans les 2 premières heures où on débarque dans le festival, on passe voir Neelix entre deux artistes, qui joue. Au début, on capte pas trop où il est. On nous répond ” Il préside la stage du haut de sa structure” tel un chef et sa meute, tout sourire et en forme balançant ses tracks sur la foule excitée. On connaît Neelix pour sa trance progressive musicale et envoûtante, le hall laisse encore passer les rayons du soleil à ce moment-là, et comme déco cette immense structure, mais pas encore éclairée. On se dit que la salle s’émerveillera une fois la nuit tombée.

On passe voir Vini Vici un peu plus tard et on perçoit enfin le mapping projeté sur ces grandes structures qu’on devinait au début.  Ça nous fait penser à des structures d’Istanbul avec ces grands dômes à la Aladin, et des fois on a l’impression de voir un bloups dans Mario version méchante avec la bouche qui se ferme et referme, les joies du mapping.

On est passé voir du côté des ingé son comment ça se goupillait, en fait, il y a deux différents mappings gérés sur 2 ordis différents, ça habille bien le devant de la scène.  Même si ça en envoie, d’un point de vue général, ça manque de psychédélisme à notre goût, quand on voit la grandeur du hall.. ! En même temps, l’année dernière Insane avait placé la barre très haute, on avait une déco et un mapping magnifique, impossible de ne pas être déçu, et dur à détrôner il faut l’avouer. Vini Vici fait le job, la foule commence à se masser devant les 2 israéliens. Évidemment quand ils balancent l’immense remix d’Hilight Tribe – Free tibet” ça jump de tous les côtés et on peut capter la joie immense de la plupart des gens venus les voir ! En même temps, ils ne pouvaient pas passer à côté de ce son.

Les VS commencent vers 23h avec Sonic Species et Avalon, rien à dire c’est de la bombe ! De la psy voire full-on comme on l’aime, on se place en haut avec les ingés, on voit les 2 bêtes face à nous avec une salle bondée. Viennent juste après Ajja et Braincell qui jouent ensemble en exclusivité mondiale, et là on a notre bonne grosse dose de son psychédélique, le duo fonctionne très bien, ils enchaînent des sons plus lourds les uns que les autres, ça tape bien comme il faut. Rien qu’à voir ce public vaciller comme dans une fourmilière, le pari est réussi !

WAREHOUSE STAGE

On commence la découverte de la scène avec Teho, un des dj de Pléiade Productions (les orgas). Si vous êtes (vous aussi) adeptes de techno mélodique, on vous conseille vivement de l’écouter et le voir en live si ce n’est pas déjà fait ! C’est le genre de musique qui vous transporte. Il ne manquait plus qu’une déco appropriée pour nous faire voyager et planer. On ne peut pas tout avoir!

Un peu plus tard, on passe voir Romulus qu’on est impatients de voir – au même titre que Teho -. Le son est top, les voix, les mélodies, ça te prend dans les tripes, il balance tous ces samples et sons en live.

Lorsqu’il joue son remix de Mia Mia avec ces voix alertes et puissantes en choeur c’est juste magique. Mais il manque quelque chose, de l’ambiance, du volume peut-être, bien dommage, mais on se dit qu’on reverra bientôt Romulus, cet été pour un autre festival peut-être ?!

On repasse sur la scène Warehouse voir Stephan Bodzin en live pour la fin de son set. C’est un gros set techno progressif qu’il termine dans la stage, à la hauteur de nos espérances : sa musique aux sonorités puissantes nous transporte, le public est chaud bouillant.

Après avoir échauffé la salle, c’est au tour de Kölsch, et il en impose dès son entrée sur scène avec son chapeau noir et toute son humilité. Son set sera tout en gradation, progressif, et il sortira ses pépites (qui font parties de nos premières écoutes de la musique électronique) qui ne font qu’amplifier son succès comme “Loreley”. Et quel plaisir de l’entendre !

C’est à Joseph Capriati que revient le rôle de clore le bal pour 2h de set. L’italien nous balancera une grosse tech-house comme à son habitude, mais on remarquera néanmoins un public peu réceptif voire mou,tout l’inverse de la scène Jungle Juice.

PANDEMIC STAGE

Le temps d’entrer dans le festival, on arrive dans ce hall monstrueux où les spots balayent déjà la salle. F-Noize surplombe la salle et rassasie le public déjà présent.On retrouve Céline (Karnage/Kosen) et on part prendre la température. On retrouve rapidement les copains Valliue derrière la scène et on tombe vite d’accord sur le fait que oui, ça tape, et oui, la soirée s’annonce bien.

S’en suit un Vs très attendu : Radium vs MaissouilleOn sent la cohésion entre ces deux gars. Sans trop de communication ils enchaînent les morceaux tout en gardant la même vibe ! Comme s’il y avait une connexion entre eux. Tout par le regard, comme s’ils faisaient ça depuis leur jeunesse ! Le public est en place et nous voilà partis pour une heure de prestige sonore.

Défilent par la suite les SRB, Warface et Mad Dog qui enchaînent tout naturellement avec des sets alliant quelques mélodies connues, des reprises, le tout remixé sur un rythme effréné. Le public est plus que ravi.

 

On peut alors constater plusieurs “zones” dans le grand hall consacré au Hard. Il y a tout d’abord cette scène, qui trône face à nous lorsque l’on rentre, avec sa structure permettant aux artistes de se retrouver surélevés face à la foule. Ils dominent le public de quelques mètres, ce qui leur permet de transmettre leur vibe avec leur gestuelle pendant les pre-drops. On peut voir les artistes chanter lors de vocaux, ça nous donne une sensation de playback sur des voix provenant des abysses.
Ensuite, il y a la zone bar, qui ne désemplie pas. Et oui, quand le rythme a une telle cadence, il est nécessaire pour tous d’aller s’hydrater avant de retourner danser face aux caissons.
Ensuite la foule est divisée en deux parties :
Il y a la partie proche de la scène où l’on peut voir le public déchaîné qui lâche des cris à chaque drop comme si quelque chose de monstrueux allait arriver. Effectivement, chaque drop est terrible.
Puis il y a la deuxième partie du public, un peu en recul, qui profite grandement de la place de ce grand hall pour danser et pratiquer jumpstyle et shuffle.
Parlons peu, parlons bien. Le grand et tant attendu Angerfist entre en scène pour poser son live. Tous ces yeux ébahis sont prêts pour recevoir leur idole. C’est le genre d’artiste qui scotche son public, même son fan le plus pointilleux.
Et comme ci ça ne suffisait pas, les orgas ont programmés Dr Peacock VS Le Bask en suivant… Pas le temps d’aller s’aérer 5 minutes.
Ce duo alliant le Néerlandais et le Français, tous deux  phénoménaux en individuel, s’annonce plus que fumant !
On entend très rapidement résonner leur coproduction : Dr.Peacock & Le Bask – Trip to DreamlandD’ailleurs, voici l’intégralité de leur set:

Nous avons fait de brefs passages sur Partyraiser et Angernoizer.
Le rythme est plus rapide, les sonorités plus saturées.. Ça envoie sévère. Mais les fous furieux sont toujours là, comme s’ils avaient besoin de se faire “achever” par ses deux derniers artistes..
D’un œil extérieur, ceux qui ne connaissent pas le style peuvent y trouver un air “masochiste” en entendant des morceaux comme Angernoizer – De Moeder :

Lorsque les lumières se sont allumées, on regarde autour de nous. Le public toujours aussi fidèle et nombreux. La scène Pandemic a tenue toutes ses promesses, les artistes présents ont assurés mais pas que.. Le public a répondu présent du début à la fin et ça nous a vraiment fait chaud au cœur de voir ce partage entre tous les acteurs de la soirée présents dans ce hall !!

 


 

On notera que le festival a eu de sérieux problèmes avec la Commission de Sécurité et que l’événement a failli être annulé et ce jusqu’à la veille de l’événement. Certains aspects du festival ont été moins investis pour que le festival ait bel et bien lieu, pour être en règle et en accord avec la Commission. On attend avec impatience la prochaine édition en espérant en prendre plein les oreilles et les mirettes !

 

Rédacteurs : Tom & Coline

Crédits photo : Brillant-Photographie et Max Guy (cover)

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